Un proverbe lyonnais annonce, fataliste: Le temps passe, toi aussi. Et demain sera pas long à devenir hier.
Pour l’illustrer, Roger Simonetti nous livre son personnage fétiche, Sapience, absorbé dans la contemplation d’une œuvre de Pierre Alechinski, peintre belge (décidément, ils les adorent !), La jeune fille et la mort :
Mouais…
Très beau, les deux, le proverbe et l’oeeûûûûvre (prononciation lyonnaise)…
Mais ce qui compte, c’est de profiter de l’instant présent, non? 😉
He! l’Simonetti… à quand Magritte… qui m’gratte?
Bises à tous.
Laurent, merci de nous faire partager l’art de Roger.
J’ai ainsi découvert Pierre Alechinsky, même si ce n’est pas vraiment ma tasse de thé.
Voici un autre proverbe (lyonnais?): « On a beau dire que c’est difficile de mourir, manquablement tout un chacun finit bien par s’en tirer. »
Se préoccuper du temps qui passe appartient aux plus « vieux »; ce n’est pas pour toi, Laurent.
Bises.
Un fan de La Palisse … mais c’est bien trouvé. En même temps pourquoi ce « proverbe » est attribué à l’image d’une jeune fille pas très à son avantage ? il me semble que cela a un goût de « misogynie », ou c’est une certaine forme d’humour, ou alors une histoire d’amour qui a mal finit ? Ce n’est pas évident de comprendre vraiment ce que veulent dire les auteurs, c’est ce qui permet les échanges !